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Rapport de l’assemblée générale de la CBTI 2017

L’assemblée générale s’est déroulée le samedi 18 mars 2017 au Leopold Hotel, à Bruxelles. L’ordre du jour était aussi rempli que la salle et les débats ont pu être suivis en français et en néerlandais grâce à Pieter Goffin et Lena Claes, deux étudiants en interprétation de la Katholieke Universiteit Leuven. Parmi les nouveaux membres de la Chambre, huit se sont brièvement présentés et ont signé le code d’honneur.

Après un passage en revue du rapport annuel et l’approbation des comptes pour 2016, les candidats à la présidence et au conseil d’administration ont pris la parole pour exposer leur programme et leur vision. Guillaume Deneufbourg a été élu à la présidence par 89 voix contre 43 et six candidats ont été élus au CA : Agnès Feltkamp, Patrick Rondou, Doris Grollmann, Isabelle Collard, Laurence Nys et Camille Collard.

Une fois le projet de budget pour 2017 approuvé, les membres ont eu l’occasion de donner leur avis sur la rémunération du « pool des traducteurs », et sur celle des interprètes à l’occasion des évènements. Une majorité semblait se prononcer en faveur du bénévolat, mais la question devra être tranchée par le nouveau CA.

L’assemblée s’est inquiétée du nombre, inhabituellement élevé, de membres n’ayant pas encore renouvelé leur adhésion pour 2017. Parmi les raisons évoquées, la possibilité que certains aient été refroidis par les tensions qui ont régné ces derniers mois. Le nouveau conseil entend se pencher sur cette question en priorité.

Erik Van Poucke, le président de Lextra Lingua, a ensuite été invité à officialiser la poursuite de la coopération avec la CBTI ; lui et Guillaume Deneufbourg ont donc reconduit l’accord de collaboration. Après un rappel de la situation des traducteurs et interprètes jurés par Doris Grollmann, l’outil DiZpo a été présenté aux membres par Benjamin Van Hemelryck, responsable du projet. Il s’agit d’une application pour smartphone et ordinateur, dans laquelle les traducteurs et interprètes jurés pourront notamment faire savoir aux parquets et à la police qu’ils sont ou non disponibles.

L’assemblée a ensuite approuvé la cotisation 2018 (qui passera à 200 euros pour les membres effectifs et à 100 euros pour les membres associés), de même que le projet de budget 2017.

La journée s’est terminée par la présentation de la plateforme Workplace, qui avait été proposée par Guillaume Deneufbourg pour régler une bonne fois pour toutes le problème de la coexistence de Yammer et du FastInfO. Visiblement convaincus par la démonstration, les membres se sont même prononcés en faveur de la suppression quasi immédiate de ces deux anciens systèmes. Le CA a pris bonne note de ce souhait et tranchera définitivement lors de sa réunion d’avril.

Avant de prendre congé, les membres n’ont pas manqué de remercier Rita Roggen, la présidente sortante, pour le travail abattu au cours des deux dernières années.

À lire également dans la section « actualités » : La CBTI joue la carte du renouveau.

Texte : Camille Collard.