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Prix du Meilleur Mémoire de recherche appliquée en traduction ou en interprétation

  • Catégorie: Activités
  • Date de publication: 5 février 2023

La cérémonie relative à la 6e édition du Prix du Meilleur Mémoire de recherche appliquée en traduction ou en interprétation s’est déroulée le vendredi 27 janvier à l’hôtel Le Louise, à Bruxelles.

Le Prix du Meilleur Mémoire de recherche appliquée en traduction ou en interprétation a pour ambition de rapprocher le monde académique de la sphère professionnelle, de manière à faciliter la transition de l’un vers l’autre. Il veut offrir de la visibilité à trois jeunes diplômés et encourager les professionnels à s’intéresser à la recherche appliquée à nos métiers, qu’il s’agisse d’analyser de nouvelles technologies, d’étudier une tendance du marché ou de se pencher sur un problème rencontré par les professionnels du secteur, par exemple.

Pour cette édition, sept universités avaient, à l’invitation de la CBTI, sélectionné un mémoire de recherche appliquée parmi ceux défendus par les étudiants inscrits dans un Master de traduction, d’interprétation ou de communication multilingue. Il s’agit, par ordre alphabétique, de l’université d’Anvers, de l’université de Gand, de la KU Leuven campus Brussel, de l’université de Liège, de l’université de Mons, de l’UCL et de la VUB.

Le jury a ensuite sélectionné, puis classé, les trois mémoires qui répondaient le plus précisément aux critères définis par le règlement. Sur son invitation, les lauréates sont venues présenter leur travail à l’occasion de la cérémonie du 27 janvier. Ces passionnants exposés ont été suivis de la remise des prix.

Le 3e prix a été attribué à Laura Robaey, de l’université de Gand, pour son travail intitulé „Ohne Dolmetscher ist unsere Arbeit hoffnungslos“ Eine explorative Studie zum Sozialdolmetschen im OCMW Gent.

Le 2e prix est revenu à Gaëlle Abrassart, de l’Université catholique de Louvain – Louvain School of Translation and Interpreting, pour son mémoire intitulé L’interprétation à distance : l’avenir de l’interprétation en langues des signes ?

La lauréate est Ushi De Wijngaert, de la KU Leuven campus Brussel, autrice d’une recherche intitulée Meertalige terminologie: seksuele disfunctie bij vrouwen.

Les travaux seront naturellement évoqués dans Le Linguiste. Le jury réitère ses félicitations aux lauréates, de même qu’aux candidats non retenus, pour la qualité de leur production.

La cérémonie s’est achevée sur un dîner servi au restaurant de l’hôtel Le Louise.

Rédaction : Pascale Pilawski