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Atelier sur le réseautage

Nombreux sont les traducteurs qui souhaitent élargir ou renouveler leur clientèle. Un des moyens d’y parvenir consistant à tisser et entretenir un vaste réseau professionnel, la CBTI a organisé le 15 septembre un atelier sur ce thème. Une douzaine de membres se sont retrouvés autour de la table pour écouter les conseils prodigués par Agnès Feltkamp et partager leur propre expérience. Ils ont également reçu sur place des copies d’articles sur le sujet afin de poursuivre la réflexion après l’atelier.

Le caractère souvent réservé des traducteurs est apparu comme un frein au développement de leur réseau. C’est pourquoi un petit jeu de rôles a invité les participants à se pencher sur les facteurs qui facilitent ou entravent l’intégration d’un individu au sein d’un groupe.

Certes, des rencontres intéressantes peuvent se produire à tout moment et en tout lieu, par exemple dans un club sportif ou lors d’une manifestation culturelle. Il est dès lors important de toujours parler avec enthousiasme de son activité. Néanmoins, il y a fort à parier que cela ne suffise pas à satisfaire les aspirations professionnelles d’un traducteur indépendant. L’affiliation aux associations professionnelles et à d’autres organismes tels que l’Union des classes moyennes (UCM) ou les Chambres de commerce, ainsi que la participation aux activités de ces associations et des différents réseaux linguistiques (Réseau franco-allemand ou ITI-FrenchNet, par exemple), la participation à des foires commerciales judicieusement choisies et, bien entendu, une présence active sur les réseaux sociaux tels que LinkedIn, Facebook ou Twitter, sont autant de façons de se faire connaître. Ces occasions de réseautage ont donc été évoquées dans le détail.

Les participants sont repartis avec des pistes à explorer et, naturellement, les noms de quelques nouvelles relations.

Auteur : Sophie Vanderauwera

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